Le clan de Beyla est une association qui a pour but d’accompagner les personnes souffrant de traumatismes suite à des violences sexuelles et/ou conjugales en se connectant au Vivant.
Blandine Buret, la fondatrice de l’association Le clan de Beyla, témoigne de sa place de victime afin de pouvoir libérer la parole et aider à sortir du tabou et du silence que les abus sexuels imposent aux victimes.
Beyla la louve l’a aidée à se réparer, elle vous propose de découvrir le clan pour soigner vos traumatismes
Qui est Beyla ?
Beyla, c’est cette louve qui s’est enfuie du Parc Alpha en 2021 après la tempête Alex qui a ravagé la vallée de Vésubie dans les Alpes. Pendant une année, deux des membres de l’équipe du parc ont tenté de la retrouver. Elle a défié tous les pièges, ruiné toutes les stratégies pour la ramener à la captivité puis elle a disparu.
Quel est le but de l’association ?
Cette association a pour but de proposer des accompagnements et/ou des soins grâce à des pratiques reliées au Vivant. Ces pratiques se centrent principalement sur la prise en charge du trauma et des violences. En particulier les traumas liés aux violences sexuelles et conjugales.
Quelle sont les valeurs, l’éthique et les concepts théoriques de l’association le Clan de Beyla ?
Pour l’association, les concepts de Vivant et de trauma – violences se pensent et s’articulent à partir de la question du corps et des émotions. Pour accéder aux sphères corporelles et émotionnelles, il apparait nécessaire de passer par l’expérientiel. L’association est portée par un engagement écologiste, humaniste et féministe.
Comment Beyla peut-elle nous aider à nous réparer et nous élever ?
Beyla c’est un cri de ralliement. Un hurlement qui rassemble. Un hurlement de douleurs qui peuvent enfin se partager. Et c’est d’abord le mien en tant que victime de violences conjugales et sexuelles…
Pour en savoir plus sur l’association, prenez contact avec moi au 06 24 43 59 61.